Pour nous, il est exclu de poursuivre avec le projet actuel en face de la mairie. Les opérateurs ont l’obligation de couvrir les actuelles zones d’ombre d’ici un an, mais cela ne les dispensent pas de passer outre l’avis des habitants et d’imposer leurs choix guidés avant tout par le souci de la rentabilité commerciale. Pendant la réunion du 19 février avec les responsables de SFR, certaines affirmations faites par le maire sont purement fantaisistes, comme :

« il faudra une ligne de 800 m pour alimenter le site du château d’eau et ça coûtera 20 000€ à la commune »

Après vérification sur le plan cadastral, le site du Château d’Eau se trouve en fait à moins de 250 m du point d’approvisionnement en électricité le plus proche, ce qui en fait un candidat parfaitement crédible. De plus, si la commune devait participer aux frais d’adduction d’électricité, l’investissement serait rapidement couvert par la location du terrain.

« L’armée s’opposera encore plus au site du Château d’Eau qu’à celui du champ de la mairie »

Personne n’a vraiment étudié la question si ce n’est la mesure faite au niveau du « point d’intérêt ». En réalité le choix du maire a toujours été celui du champ lui appartenant, et il s’est bien gardé d’en débattre avec qui que ce soit.

il y a bien d’autres interrogations notamment à propos de la démarche et des tractations entre SFR et le maire. Y-a-t-il eu signature de la déclaration de travaux par le maire, ce que les responsables de SFR démentissent formellement ? Mme Divine s’est plusieurs fois trouvée dans l’embarras sur les questions de dates, notamment l’envoi du dossier d’information…